[DECRYPTAGE] Simulation numérique d’IRM de flux 4D

Historiquement réservée à l’étude morphologique, les progrès technologiques réalisés ces dernières décennies ont permis d’adapter l’Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) à l’exploration des flux sanguins grâce à l’IRM à contraste de phase 3D (ou IRM de flux 4D) [1]. En donnant accès à l’évolution temporelle du champ de vitesse dans les trois directions de l’espace en plus de la morphologie du secteur artériel d’intérêt, elle constitue un outil de choix en pratique clinique pour la prise en charge et le suivi de patients atteints de pathologies en lien avec l’hémodynamiqu

[DECRYPTAGE] IRM & grossesse : quels risques liés aux champs électromagnétiques et au Gadolinium ?

L’Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) est une modalité de choix pour l’étude de nombreuses pathologies, car elle permet de produire des images de très haute qualité sans exposition aux rayonnements ionisants. Pour autant, cette technique d’imagerie n’est pas exempte de risques : citons
les rayonnements non ionisants et leurs effets, le phénomène d’effet projectile occasionnant des
accidents, et l’exposition au produit de contraste.